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Accueil > Actualités et normes > Protection de la tête : la carte du confort et de l’innovation

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Risques pour l'Homme au travail

Protection de la tête : la carte du confort et de l’innovation

Publié le

Pour aider les employeurs à limiter les risques d’accident de la tête qui occasionnent un million de journées de travail perdues chaque année, les industriels s’efforcent d’améliorer le port des EPI en jouant la carte de la légèreté ou de l’innovation.

La tête, le cou et les yeux représentent 7 % des lésions occasionnées par les accidents du travail. Elles arrivent en 4ème position dans les statistiques publiées par l’Assurance-Maladie Risques professionnels (AM-RP). Certains secteurs économiques sont particulièrement accidentogènes. C’est le cas du BTP, métallurgie, transport d’eau, gaz et électricité. Globalement depuis trois ans, les accidents de la tête occasionnent un million de journées perdues annuellement. En 2015, les lésions ont provoqué 46 décès contre 36 en 2016 et 29 en 2017. La diminution du nombre de décès s’accompagne d’une diminution des accidents du travail (AT) et des incapacités permanentes (IP). En 2015, on a enregistré 28.824 AT et 1.463 IP contre 27.972 AT et et 1.229 IP en 2017. Mais ces améliorations restent insuffisantes. Les entreprises ont donc encore des efforts à accomplir. Sophie Claude, consultante ergonome en santé au travail et performance globale nous rappelle la marche à suivre. « Je recommande aux entreprises de prendre d’abord le temps d’analyser la situation de travail concernée, de penser aux mesures organisationnelles puis aux neuf principes de prévention. A savoir l’élimination du danger, puis l’information et la formation des salariés, avant d’envisager si nécessaire une protection collective et, en dernier recours, aux équipements de protection individuelle (EPI) choisis en fonction du danger encouru. Y-a-t-il, par exemple, un risque de chute de hauteur ou d’objet sur la tête ? Dans tous les cas il est nécessaire d’associer les équipes concernées à l’analyse de la situation et au choix des solutions de prévention à expérimenter pour en soutenir la pertinence effective », estime l’ergonome. Lire la suite de l'article...

 

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